12 octobre 2008
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"Ne jamais compromettre la passion, l'intensité, le temps ou l'argent. Perfectionner un équilibre de la technologie et du primitif. Investir la foi absolue. Goûter le défi. Persister éternellement. Ces lois de fer constitue les principes de la plateforme confédérée et place la base pour les paramètres de conception de chaque moto confédérée".
Yaah OK ! Au moins c'est clair et assumé dès le départ !
CONFEDERATE MOTOR, la petite société de Matt Chambers, est fondée en 1991 à Baton Rouge en Louisiane (U.S) et célèbre l'art de la rebellion en 2 roues. Se définissant comme un passionné, Matt Chambers, le fondateur, crée avec son équipe, des bolides d’exceptions, avec comme but, d’atteindre la moto ultime et de renouveler le genre, a new American design initiative.
Vous connaissiez les 3premiers modèles :
WRAITH
HELLCAT
RENOVATIO PROJECT
Voilà le nouveau modèle plus technique, plus rare, plus cher :
CONFEDERATE RENAISSANCE FIGHTER
cylindrée: 1 996 cm3
Ce gros twin culbuté serti dans un châssis hi-tech mixant l'aluminium taillé dans la masse et les pièces en fibres de carbone va puiser son inspiration dans les machines de course des années 1920, les fameuses motos de boardtrack. Cette fois, il s'agit d'une interprétation de la forme triangulaire typique des cadres américains vu de profil. La signature Confederate apparaît néanmoins au premier regard avec son système de direction dérivé des fourches de type "girder" qui équipent certains customs. Souhaitant certainement épurer au maximum le design de la partie avant, les concepteurs de la Renaissance Fighter ont intégré des feux à diodes directement dans les deux longerons en fibres de carbone.
Quant au reste de la machine, il marie les solutions techniques déjà exploitées sur les Hellcat et les Wraith.
Tous les éléments, depuis l'énorme épine dorsale jusqu'au carters du moteur de 2L de cylindrée en passant par l'échappement et le réservoir de carburant installés sous la moteur sont réalisés en aluminium et en titane. Résultat : 195 kg sur la balance. Un choix en rapport avec l'approche industrielle du design que Confederate souhaite incarner. Assis au ras du sol sur la selle minimaliste, les jambes tendues en avant, on pourra alors
tester la capacité des disques aluminium-céramique à contenir les ardeurs de ce dragster posé sur un pneu arrière extra-large Pirelli dont la gomme devrait rapidement disparaître sous les assauts des 1 996 cm6 du bicylindre maison. Mais on s'attardera néanmoins sur l'ajustement, apparemment parfait, de chacun de ces éléments.
C'est finalement bien le moins que l'on puisse attendre d'une moto produite à seulement 45 exemplaires pour la première série au tarif particulièrement sélectif de... 110 000 $ (hors taxe et frais de transport évidemment).
Pour ceux qui veulent + d'informations concernant le moteur et partie cycle :
http://www.moto-station.com/article5042-news-moto-2009-confederate-renaissance-fighter.html
source : http://www.confederate.com/, www.moto-station.com, trendsnow.com
Yaah OK ! Au moins c'est clair et assumé dès le départ !
CONFEDERATE MOTOR, la petite société de Matt Chambers, est fondée en 1991 à Baton Rouge en Louisiane (U.S) et célèbre l'art de la rebellion en 2 roues. Se définissant comme un passionné, Matt Chambers, le fondateur, crée avec son équipe, des bolides d’exceptions, avec comme but, d’atteindre la moto ultime et de renouveler le genre, a new American design initiative.
Vous connaissiez les 3premiers modèles :
WRAITH
HELLCAT
RENOVATIO PROJECT
Voilà le nouveau modèle plus technique, plus rare, plus cher :
CONFEDERATE RENAISSANCE FIGHTER
cylindrée: 1 996 cm3
Ce gros twin culbuté serti dans un châssis hi-tech mixant l'aluminium taillé dans la masse et les pièces en fibres de carbone va puiser son inspiration dans les machines de course des années 1920, les fameuses motos de boardtrack. Cette fois, il s'agit d'une interprétation de la forme triangulaire typique des cadres américains vu de profil. La signature Confederate apparaît néanmoins au premier regard avec son système de direction dérivé des fourches de type "girder" qui équipent certains customs. Souhaitant certainement épurer au maximum le design de la partie avant, les concepteurs de la Renaissance Fighter ont intégré des feux à diodes directement dans les deux longerons en fibres de carbone.
Quant au reste de la machine, il marie les solutions techniques déjà exploitées sur les Hellcat et les Wraith.
Tous les éléments, depuis l'énorme épine dorsale jusqu'au carters du moteur de 2L de cylindrée en passant par l'échappement et le réservoir de carburant installés sous la moteur sont réalisés en aluminium et en titane. Résultat : 195 kg sur la balance. Un choix en rapport avec l'approche industrielle du design que Confederate souhaite incarner. Assis au ras du sol sur la selle minimaliste, les jambes tendues en avant, on pourra alors
tester la capacité des disques aluminium-céramique à contenir les ardeurs de ce dragster posé sur un pneu arrière extra-large Pirelli dont la gomme devrait rapidement disparaître sous les assauts des 1 996 cm6 du bicylindre maison. Mais on s'attardera néanmoins sur l'ajustement, apparemment parfait, de chacun de ces éléments.
C'est finalement bien le moins que l'on puisse attendre d'une moto produite à seulement 45 exemplaires pour la première série au tarif particulièrement sélectif de... 110 000 $ (hors taxe et frais de transport évidemment).
Pour ceux qui veulent + d'informations concernant le moteur et partie cycle :
http://www.moto-station.com/article5042-news-moto-2009-confederate-renaissance-fighter.html
source : http://www.confederate.com/, www.moto-station.com, trendsnow.com